Dès septembre, la salle est réquisitionnée par les autorités françaises, puis en juillet 1940 par la Wehrmacht, qui en fait un entrepêt.
Le local reste sans surveillance en novembre 1944 et est mis à sac par la population puis part en fumée la nuit suivante, sauvant ainsi la population d'éventuelles représailles.
La construction fut une charge trop lourde pour le club, les dommages de guerre étant insuffisants.
Pour sauver le club, les dirigeants cédèrent la salle à un exploitant de cinéma, se réservant la scène pour les entraînements (1955-1967).
La SGL va connaître une ère de prospérité grâce à une équipe solidaire et dynamique.